36 South
Street
Bienvenue
sur ce blog consacré à Abercrombie & Fitch.
Tout
d’abord, permettez-moi de me présenter.
Vous
l’avez sans doute compris, je suis un grand fan d’A&F depuis plusieurs
années. Pour autant, ma contribution au chiffre d’affaire de la marque à l’élan
s’est jusque là limitée à l’achat d’un caleçon, d'une chemise et d’un pull.
Ce
qui me plaît chez Abercrombie, c’est avant tout l’ambiance inoubliable des
magasins, surtout lorsque l’on déambule dans le saint des saints de la marque
sur la Cinquième Avenue, en plein New York.
Néanmoins,
qui dit fan ne dit pas nécessairement inconditionnel. Si l’on fait fi des conditions
dans lesquelles sont fabriqués les vêtements (qui sont, rappelons-le,
sensiblement les mêmes pour toutes les marques de PAP), Abercrombie a su
s’attirer les foudres de la presse et d’une grande partie de l’opinion publique
à plusieurs reprises par sa politique des ressources humaines, certains
produits (je pense aux soutien-gorge rembourrés) et surtout les déclarations de
son CEO, Michael S. Jeffries.
Aussi, bien que client de cette marque comme bien d’autres,
j’essaie de rester lucide sur sa « face cachée ».
« Ni rire, ni pleurer, mais comprendre. »
Cette
maxime fut celle du grand philosophe hollandais du XVIIe Baruch
Spinoza. C’est bien modestement que j’essaierai d’en faire mon guide à chaque
article que je publierai sur ce blog.
Abercrombie
& Fitch fait partie de ces marques dont on rie ou pleure, mais qui laissent
peu d’indifférents une fois leur existence connue. C’est pourquoi je
souhaiterai essayer d’adopter une position médiane dans ce débat, à l’heure où
le groupe semble sur le point d’exploser et revient de fait sur le devant de la
scène médiatique.
Mais
attention ! Je ne prétends à aucun moment faire œuvre de
moralisateur ! Mon but ici sera de vous faire découvrir l’histoire de ce
groupe né en 1892, de décortiquer sa stratégie et ses campagnes publicitaires
et de mettre un peu d’eau dans le vin des critiques comme des inconditionnels
de la marque.
Prêts pour le voyage ?
Janvier 2014.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire